âge, date et lieu de naissance — william est né il y a de cela vingt-trois ans, par une froide nuit d'hiver, quelques jours avant noël seulement. un cadeau? pas vraiment, pourtant. bébé brailleur et insomniaque, il a rendu ses parents absolument dingues. il a vu le jour au beau milieu du manoir familial, dans le yorkshire, entouré de plusieurs paires d'yeux flamel. tous scrutant intensément le nouveau-né, afin de tenter de prévoir ce qu'il allait bien pouvoir devenir. nationalité et origines — il est bien connu que les flamel tirent leurs racines de france, là où ils ont connu prospérité et gloire. pourtant, le jeune homme possède bel et bien la nationalité anglaise. il se sent plus chez lui dans ce pays que de l'autre côté de la mer, là où la classe et l'aristocratie étaient trop présentes pour qu'il puisse s'y épanouir pleinement. sang de sorcier — pur, bien entendu. les flamel possèdent un sang pur depuis bien des générations, désormais. et bien que william ne soit pas un extrémiste concernant ce détail, il n'est cependant pas peu fier de pouvoir exposer à la face du monde que son sang est celui des véritables sorciers. c'est d'ailleurs pour cela qu'il a accepté de se marier à une sorcière par stratégie politique, afin de perpétuer cette pureté qu'il chérit tant. maison à hogwarts — alors que la plupart de ses aînés se sont retrouvés à étudier sous les couleurs de serdaigle, le jeune flamel s'est, quant à lui, retrouvé réparti au sein de la maison de salazar serpentard. pas peu fier, il arbore avec un plaisir non-dissimulé l'argent et le vert, si propres aux serpents. rusé, habile et ambitieux, il possède toutes les qualités d'un bon serpentard et ne s'en cache pas. statut civil — célibataire, amant volage et coureur de jupons, william a conquit bien des coeurs à poudlard. et il en a brisé tout autant. il aime les femmes, il aime séduire, sentir qu'il plaît. son coeur est, selon la légende, totalement inaccessible. après tout, il n'est jamais tombé amoureux, ne s'est jamais attardé auprès d'une fille plus de quelques semaines. cependant, son destin semble être désormais scellé puisqu'il est sur le point d'être fiancé à une certaine lyra black.  année scolaire et spécialité — william a obtenu, avec succès sa licence et poursuit donc ses études en master, dans l'objectif de décrocher son BATON. il s'est spécialisé en justice magique, dans le but de se faire une place au soleil, au sein du ministère de la magie. il suit les options d'alchimie, de divination, d'étude des runes et d'approche des arts occultes.baguette magique — la baguette du jeune homme fût taillée dans un vieux frêne et renferme, en son coeur un cheveu de sirène. elle mesure environ vingt-six centimètres et est prédisposée aux enchantements. patronus — son patronus prend la forme d'une hyène, les crocs dénudés, prête à l'attaque. sauvage et insaisissable. redoutable, sournoise. vicieuse. prête à tout pour gagner. peu imposante mais pourtant diablement sanguinaire. épouvantard — peur commune et répandue à travers le monde entier, la chose que william craint le plus au monde est, en fait, la mort. son épouvantard prend la forme de la faucheuse, démesurée et sans visage, entourée d'une sorte d'aura ténébreuse. amortencia — l'odeur de la terre après la pluie, de l'encre séchée sur le parchemin et de la menthe fraîchement coupée.  qualités et défauts — autoritaire, charmeur, intelligent, mesquin, charismatique, menteur, réfléchi, capricieux, inventif, colérique, rusé, ambitieux, retord, pervers, solidaire, loyal, attentif, curieux. signe distinctif — des yeux vairons, un bleu et un marron, qui le démarque de tout les autres sorciers. petite curiosité qui attire bien des regards. animal de compagnie — une boule de poils grise, qui le suit partout à travers les couloirs de poudlard. prénommée ombre, elle est très attachée à son maître et réciproquement. crédits — tumblr.

pseudo et prénom — malfoy, émilie. âge et région/pays — vingt ans tout rond comment as-tu découvert le forum ? — merci bazzart  quel est ton avis sur le forum ? — il est sublime  quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — incertaine pour le moment x ton personnage est — scénario () inventé () ton avatar est — dominic sherwood un dernier mot —      

La nuit reprenait ses droits sur l'immense domaine que tes parents venaient de s'offrir, en tant que 'maison de vacances'. Bien que cette dernière ne soit, en réalité, située qu'à quelques centaines de kilomètres de votre résidence principale. Encore une idée complètement insensée de ta figure maternelle, éternelle excentrique et drama-queen, à ses heures perdues. Tu l'aimais, énormément. Elle était même probablement la seule femme que tu aimerais autant. Cependant, elle était toujours trop. Cela découlait, sans aucuns doutes, de son enfance dans l'aristocratie russe, faisant d'elle une petite poupée, légèrement délurée et totalement excentrique. « J'aime déjà tellement cette maison ! » Tu soupiras silencieusement en contemplant l'immense espace vide censé faire office d'entrée-salon de réception, avant de déposer les trois énormes cartons que ta mère t'avait fourré dans les bras sur le sol marbré. Ton père te jeta un regard de connivence en pénétrant, à son tour, dans la demeure. Malgré ses airs de mauvais garçon revêche, tu pouvais voir briller au fond de ses yeux bleus tout l'amour qu'il portait à ta mère. Il lui était totalement dévoué, prêt à répondre à ses moindres caprices. Après tout, elle avait abandonné son monde pour lui. Christian Flamel, ton paternel, était issu d'une famille connue pour ses frasques, son côté un peu loufoque et son inventivité légendaire, tant et si bien qu'ils avaient fini par aider à la réalisation de grandes découvertes de cette ère. Autant dire que ce n'était pas un prétendant idéal pour la jeune Marissa, descendante d'une des plus riches familles de Russie. Mais l'amour ne possède aucunes limites, il permet de surmonter tout les obstacles. Et tes parents en étaient la plus belle preuve. Bien entendu, tu passais ton temps à taquiner ton père, notamment en le comparant à un petit animal de compagnie obéissant. Ce à quoi il répondait toujours : « Tu passeras par-là un jour aussi, mon fils. Lorsque toute ton âme ne sera plus tournée que vers une seule et unique personne. Une jolie fille, intelligente et … de sang-pur, bien sur. » D'ailleurs, tu savais que, de ces trois critères, le dernier était sans aucun doute le plus important. S'il y avait bien un point sur lequel les deux familles de tes parents étaient d'accord, c'était sur l'importance de perpétuer la pureté de votre sang. Tu n'y portais pas vraiment d'importance, personnellement. Tu aimais avoir le sang-pur, cependant cela n'était une tare d'être un impur, à tes yeux. « Les garçons, j'ai besoin d'aide pour la cuisine ! » Énième soupir de la journée. Tu ne comprenais pas pourquoi ta mère s'obstinait à posséder une cuisine qui aurait pu faire pâlir celles du palais de Londres, alors qu'elle n'y mettait jamais les pieds. C'était d'ailleurs bien mieux ainsi. Le plus elle se tenait éloignée de la nourriture, le mieux vos estomacs se portaient. Déjà, ton père s'éloignait et tu restas sur place, le regardant céder aux instructions de ta mère. Tout deux te répondaient souvent que tu étais trop jeune pour comprendre. Mais tu savais, au fond de toi, que jamais tu ne pourrais te conduire ainsi. Tu n'imaginais pas arriver à faire taire ton caractère impétueux pour deux beaux yeux, à devenir l'homme d'une seule et unique femme, à poser tes yeux sur la personne qui deviendrait le centre de ton monde entier. Tu étais trop indépendant et fier, pour cela. Et, en toute vérité, tu ne prêtais aucune importance aux relations de cœur, préférant – et de loin, les relations de courte durée. Pas d'attaches, pas de regrets, pas de blessures. Et tu continuerais à vivre ainsi, car c'était la façon la plus sûre, pour toi. Tu ne voulais dépendre de personne. Jamais. Tu étais assez fort pour te suffire à toi-même. Un homme, un vrai.


« C'est ton tour, Will. » Tu déglutis avant de te lever, de mauvaise grâce, et de te diriger vers l'estrade d'un pas traînant. Tu n'avais même pas conscience de ce que tu étais entrain de faire, tu avais simplement l'impression d'être un pantin qui faisait ce que l'on attendait de lui. Tu ignorais les dizaines de paires d'yeux qui se tournaient vers toi, tels des chiens affamés, cherchant à voir si tu étais encore capable de tenir debout. Tu voudrais leur hurler d'aller se faire voir, mais tes lèvres restèrent scellées. Non, il ne voudrait pas que tu réagisses ainsi. Sa simple évocation fit naître une larme rebelle au coin de ton œil droit. Tu l'essuyas d'un geste rageur, tu ne voulais pas donner satisfaction à tout ces rapaces. Tu sentis la main de ta grand-mère, posée sur son épaule, la seule chose qui arrivait à te ramener à la réalité. Non, tout cela n'était pas une immense farce qui prendrait bientôt fin. Il était parti, pour toujours, et rien n'y changerait. Tes mains tremblaient, mais tu t'en rendais à peine compte. Depuis l'annonce de sa mort, tu avais l'impression de voguer dans une brume des plus obscures. Ton corps continuait à assurer sa survie seul, car ton esprit était mort en même temps que lui. Tu avais l'impression de ne plus être qu'une marionnette sans vie. « Courage, je sais à quel point cela doit être difficile pour toi, te chuchote le pasteur alors que tu montes à ses côtés sur l'estrade. » Tu voudrais fracasser son misérable crâne chauve sur le pupitre, mais tu te retiens, te contentant de serrer les poings jusqu'à ce que tes ongles rentrent dans ta paume et te fassent mal. Tu dardas ton regard noir comme la nuit sur l'assemblée réunie devant toi. Tu ne connaissais pas les trois-quart des personnes présentes, et tu les détestais pourtant. Parce qu'ils se fichaient pas mal de ton père, mais que cela aurait été mal poli de refuser de venir. Tu posas une main sur le cercueil dont le bois brillait tellement que tu pouvais apercevoir ton reflet. Tu faisais peine à voir, mais c'était bien la dernière chose qui te préoccupais actuellement. Tu avais quinze ans, et tu venais de perdre ton père, la personne que tu aimais le plus en ce bas monde. Tu inspiras profondément, tachant de chasser les larmes qui embuaient ta vision. Ils attendaient tous de toi un discours pré-écrit des plus émouvants. Mais les mots restaient bloqués dans ta gorge. Tu n'avais jamais été le genre de garçon à partager ce que tu ressentais, et cela devrait commencer devant une foule d'inconnus ? Tu cherchas des yeux ta mère, mais elle n'était pas là. Elle n'était pas venue, finalement, prétextant qu'elle n'en avait pas la force. Et tu la haïssait, elle, encore plus que tout les autres. Parce que, toi aussi, tu aurais mille fois préféré rester caché sous ta couette à sangloter, mais tu étais venu. Pour lui. Pour lui adresser un dernier au revoir, un dernier hommage. Lui dire une dernière fois à quel point tu l'aimais. Tu tournas la tête vers ta grand-mère qui t'encouragea d'un petit signe de tête. « J'arrive toujours pas à croire qu'il soit parti, vous savez, je n'arrive pas à imaginer que je vais commencer à avancer dans ma vie sans sa présence à mes côtés. Je me sens plus seul que jamais. Il s'en est allé avec une partie de moi, avec tout espoir de vie heureuse, de bonheur. Je … J'arrive même pas à … A me dire que c'est terminé, que je ne le reverrais plus jamais, que son sourire ne m'accueillera plus à chaque fois que je rentrerais de Poudlard, que ses bras ne m'envelopperont plus à chaque fois que je me sentirais triste … que son cœur ne redonnera plus de la force au mien à chaque fois que j'en aurais besoin. Il ne méritait pas de mourir si jeune, c'était un homme exceptionnel, un père aimant et un homme extraordinaire. Je pense que le jour où il est né, les planètes devaient êtres alignées, ou quelque chose comme ça. En tout cas, c'est ce qu'il disait pour moi. Je ne l'ai jamais contredis, mais j'ai toujours su qu'il était bien meilleur que je ne le serais jamais. Que nous ne le serons jamais. Papa, si tu m'entends d'où tu es, saches que je t'aimerais toute ma vie, que je porterais ton souvenir dans mon cœur à chaque seconde de chaque jours, que je ferais tout pour te rendre fier. Je t'aimerais toute ma vie, que tu sois physiquement à mes côtés ou non, parce que tant que je vivrais, je ferais en sorte que ton souvenir vive avec moi. Je t'aime … » Et c'est seulement à ce moment-là que tu acceptas de lâcher prise, de laisser sortir toute cette peine qui menaçait de te submerger depuis trois jours. Tu te laissas tomber à genoux, tes poings heurtèrent le sol avec fracas et tu pleuras. Parce que tu étais seul, désormais, que l'on t'avait arraché à ton innocence trop tôt, que tu venais de perdre la moitié de toi-même, que tu ne vivrais plus jamais, que tu ne ferais plus que survivre. Parce que tu n'avais que quinze ans, et que ton père venait de mourir.


« Tu as bien conscience que tout cela est parfaitement ridicule, n'est-ce pas ? Grognas-tu pour la millième fois en te balançant sur les pieds de ta chaise. » Voilà presque trois heures que vous étiez là, désormais et tu avais l'impression que tu allais probablement mourir d'ennui. Littéralement. Tu ne prêtais aucune attention au discours monotone de Lyra et contenant tout un tas de mots que tu ne connaissais même pas. Tu ne pouvais pas lui reprocher de ne pas maîtriser le sujet. Elle le connaissait probablement même un peu trop. Et toi, vraiment pas assez. Tu te rendais compte du retard que tu avais accumulé durant toutes ces années passées à faire le pitre plutôt qu'à apprendre tes cours d'histoire. C'était d'ailleurs cette attitude qui t'avait mené ici, dans cette bibliothèque au beau milieu d'un samedi après-midi ensoleillé. Dire que tu aurais pu profiter des premiers rayons de soleil du mois de mai, faire jouer ton charme ravageur et tout faire, plutôt que d'étudier. Mais non, tu étais coincé ici, avec cette moralisatrice rousse qui tentait désespérément de faire rentrer quelque chose dans le petit pois qui te servait de cerveau. « Tais-toi un peu et concentre toi, Will. » Tu grognas en levant les yeux au ciel. Tessa était agaçante et autoritaire. Mais, plus que tout c'était une fille qui osait te faire la leçon. Autant dire que ton ego de macho en prenait un sacré coup. Vous vous connaissiez depuis des années et votre relation avait toujours été plutôt ... en dent de scie. Alternativement amis et ennemis. Chien et chat. Des piques mesquines que contredisaient des regards tendres. Un instinct de protection qui cédait parfois à l'envie de se moquer de sa personne. Lyra était major de sa promo, rusée et – il fallait l'avouer – divine. En somme, elle avait toutes les cartes en main pour te rendre fou. Et pas dans le bon sens du terme. « Je me fiche pas mal de tout ça. Qui se soucie sérieusement des rébellions moldus dans le monde ? » Tu avais conscience de tirer sur la corde, mais embêter la jeune femme était devenu ton passe-temps favoris. Malheureusement pour toi, elle t'avait fait clairement comprendre qu'elle n'allait pas se laisser faire par un petit enquiquineur de première qui n'avait rien dans la cervelle. Autrement dit : toi. Malgré tout le machiavélisme que tu avais pu déployer, Tessa restait toujours égale à elle-même. Patiente, attentive et délicate. Bien que tu connais l'existence d'un côté tigresse, derrière tout cela. « Visiblement, ta mère. » Tu serras les dents. Elle avait raison, comme toujours. Et c'était diablement agaçant, à la longue. Tu n'étais plus un petit garçon, tu pouvais prendre soin de ta personne, sans elle. Tu étais certain que tu pourrais parfaitement t'en tirer sans elle, si tu le voulais. Mais ta mère, amie avec les Black depuis longtemps, avait trouvé diablement intelligent de demander à la jeune femme de t'aider en histoire. Formidable idée. « Je n'ai pas besoin de toi, répliquas-tu froidement, vexé d'avoir été rabroué une énième fois par cette fille. » Elle te jeta un regard noir. Un regard que tu ne lui connaissais pas. Elle rassembla ses affaires en continuant de darder ses yeux sur toi et tu songeas, à cet instant, que si un regard pouvait tuer, tu ne serais déjà plus de ce monde. « Je ne suis pas là pour le plaisir, Flamel, mais parce qu'on me l'a demandé. Alors si je ne te conviens pas, fais-moi le plaisir d'aller te faire voir. » Tu croisas les bras sur ta poitrine, les traits de ton visage se tirant sous l'effet de la colère alors que déjà, Tessa tournait les talons. Bon dieu, ce que tu pouvais détester cette fille. Et ce que tu pouvais l'aimer, également.

omg, j'adore encore une fois tes personnages emilie. william est parfait, il est beau, ambitieux, il a de l'avenir ce petit. et je te ship très fort fort fort avec lyra. et je n'oublis pas de dire que ta plume est toujours aussi agréable ma belle.

Félicitations petit hibou, tu es enfin validé ! Mais avant de rejoindre ta salle commune (ou la salle sur demande, je ne juge pas), je te conseille d’aller recenser ta carte chocogrenouille, pour que personne ne te la prenne. Les sorciers n’étant plus ce qu’ils étaient, on ne sait jamais. Bon, maintenant, on va essayer de t’intégrer comme il se doit. Tu vois ce couloir là-bas ? Dis-leur que tu viens de ma part et crées-toi un sujet de lien pour qu’on puisse venir t’harceler. C’est certainement pas avec ta tête de gland qu’ils vont s’approcher. Ensuite, si tu préfères la jouer à la meetic, viens créer des scénarios ou des semi-liens. C’est inutile ? Ah t’es un dur toi ! C’est bien. T’es surement dans l’équipe de quidittich, non ? Je te conseille d’aller réserver ta place dans l’équipe de ton choix. T’es peut-être un coincé au final… Va te recenser au bureau des préfets, par là. Oh, tu appartiens à un de ces clubs inutiles dont personne ne connaît le nom ? Tu fais comme tu veux, petit hibou, j’ai autre chose à faire que te juger. Dis, j’ai déjà vu ta tête quelque part… Tu serais pas un sang-pur par hasard ? Un sang-mêlé ? Je te conseille d’aller te faire recenser la nature de ton sang. On ne veut pas de problème avec le gouvernement ! EH, pourquoi tes cheveux changent de couleur ? Encore une de ces erreurs génétiques… Les dons et malédicitons, c’est par ici. Attends, t’as pas vraiment la tête d’un élève… Si t’es un adulte, va recenser ton métier et arrête de me faire perdre mon temps. Comment ça, t’es juste un peu barbu ? Ça explique tout. Je te conseille d’aller remplir ton dossier sur le parcours scolaire, ce serait bête que tu rates la prochaine sortie scolaire à cause de quelques poils. Et n'oublie pas d'aller faire un tour dans la coupe des quatre maisons pour réclamer tes points, ça serait bête de ne pas en profiter hein ? C'est par ici que ça se passe !

Voilà, je crois que tu as fini, petit hibou. C'était long et fastidieux mais tu es officiellement un élève de Hogwarts, pour le meilleur comme le pire. Il ne me reste plus qu’à te souhaiter bienvenue et bonne chance !

Juste une dernière chose : évite les problèmes, les murs te surveillent.