âge, date et lieu de naissance — elle va sur ses vingt-trois ans, déjà. cela veut dire qu'elle a vu le jour le premier janvier 1993, alors qu'il faisait un froid polaire dans à l'extérieur de la petite chambre où a accouché sa mère, dans la demeure familiale. nationalité et origines — purement anglaise, bien évidemment. sang de sorcier — tout aussi pur, et ce par tous les moyens. c'est à cause de cela que sa mère est également sa grande cousine. maison à hogwarts — slytherin house, la maison de ses ancêtres, évidemment. statut civil — elle est célibataire, mais elle et octo font croire à une folle histoire d'amour dans le seul but de se marier par intérêt sans éveiller les soupçons. l'amour c'est pour les enfants, de toute façon. année scolaire et spécialité — elle rentre en neuvième année, et étudie la justice magique, avec l'occlumancie et la légilimencie comme options. baguette magique — en bois de peuplier, vingt-huit centimètres, rigide, contenant un croc de loup-garou. particulièrement efficace pour les incantations. patronus — un cobra royal, mais astra n'a jamais été capable de le faire apparaître. ses souvenirs ne sont pas suffisamment heureux.  épouvantard — astra aime se dire qu'elle ne craint rien ni personne, mais en réalité elle est pétrifiée dès qu'elle se trouve devant le moindre chien. de ce fait, son épouvantard est un énorme cerbère montrant les dents, qu'elle ridiculise en jouet en forme de chien dodelinant de la tête.amortencia — une odeur de terre mouillée, de cannelle et de vieux parchemin. don magique — à son grand regret elle n'est pas fourchelangue, mais bel et bien voyante. elle n'est d'ailleurs pas encore certaine d'en être ravie, mais au moins, elle a fini par l'accepter. qualités et défauts — c'est une fille passionnée, déterminée mais également impulsive, ce qu'elle tente de contrôler. mieux vaut préparer une vengeance que de riposter immédiatement. ceci fait d'elle quelqu'un de vindicatif, et son intelligence ainsi que son inventivité lui servent à cette fin. elle a un côté très manipulateur, et elle aura toujours une ruse pour se sortir de n'importe quelle situation. elle est prête à tout pour atteindre ses objectifs, libertine et charmeuse, elle offrira son corps si cela peut la servir. charismatique, elle sait faire agir les autres dans son sens, et elle a le don de capter l'attention lorsqu'elle s'exprime. calculatrice, elle ne fait jamais rien au hasard. narcissique, elle se met toujours en valeur et s'estime supérieur aux autres, incapable de ressentir de l'amour pour un homme, tout simplement car elle trouve cela inutile. beauté froide, elle n'est pas inaccessible pour autant et s'applique à ne pas paraître effrayante. perfectionniste, cela en devient même de la maniaquerie, ce qui en amuse certains, mais gare à ne pas rire devant elle. après tout, elle n'est pas non plus une gaunt pour rien. très protectrice envers sa famille, elle est capable de tout pour eux. signe distinctif —  elle s'est fait tatoué un G entouré d'un serpent sur le poignet gauche, là où la veine menant au coeur passe. elle est fière de ses origines.elle souffre également de crises d'hystérie, et doit prendre une potion de façon hebdomadaire pour contrôler ces dernières.animal de compagnie — elle possède un hibou grand-duc, ayant un mauvais caractère sauf avec elle. il est très obéissant et particulièrement bien élevé, c'est un animal très fier qu'astra affectionne particulièrement. elle l'a nommé roi. crédits — wildbeast.

pseudo et prénom — tia, pseudo provenant de katia, mon prénom. âge et région/pays — 17 ans, je crèche dans le var    comment as-tu découvert le forum ? — sur bazzart. quel est ton avis sur le forum ? — il est géant    quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? —  5/7 minimum   ton personnage est — scénario () inventé (x) mais avec un pré-lien.ton avatar est — giza lagarce un dernier mot — j'ai hâte de joeur avec vous  

Comme tous les premières années, Astra leva des yeux admiratifs sur le château de Poudlard quand pour la première fois, il apparut sous ses yeux. La barque continuait d’avancer doucement, glissant sur l’eau silencieusement. Les vitres éclairées perçaient la façade sombre du château de la plus belle des manières, et Astra en tomba immédiatement amoureuse, caressant ses courbes des yeux, tentant de compter le nombre d’ouvertures, le nombre de tour, la couleur des briques, la façon qu’avait l’eau du lac de se refléter légèrement contre les vitres. Elle voulait l’apprendre par cœur, le sentir s’infiltrer sous sa peau et ne plus jamais le laisser s’échapper de son esprit. Un jour, sa famille aurait un château comme celui-ci, un jour ils y parviendraient. Il leur fallait juste encore un peu de patience. « Tu penses être réparti dans quelle Maison ? » « J’espère Gryffondor ! Il paraît que ce sont les meilleurs ! » « Eh bien moi je préférerai Serdaigle, ce sont les plus intelligents ! » « De toute manière, tant que je ne suis pas à Serpentard, tout me va ! Il n’y a que les gens mauvais qui vont là-bas ! » Astra eut un léger sourire. Elle, elle savait déjà où elle allait être répartie, cela semblait tellement évident qu’elle ne s’en inquiétait même pas. Le sang de Serpentard coulait dans ses veines, elle ne risquait pas de se retrouver ailleurs. Ils avaient peut-être une mauvaise réputation, mais pour elle, Serpentard restait la meilleure des Maisons, contrairement aux croyances populaires.

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Astra s’était résolu au fait de ne pas porter dans ses gènes le don familial. C’était comme ça, et rien ne pourrait faire changer cette constatation, et ce peu importe à quel point elle pouvait envier sa petite sœur pour avoir la faculté de siffler de façon si fascinante. Elle ne parviendrait jamais à avoir ce magnifique point commun avec son père, et même si cela l’attristait, elle devait s’y faire. En y réfléchissant, ce fut peut-être cette frustration qui la poussa à ne pas prendre l’option de soin aux animaux magiques, mais bel et bien divination. En entrant dans la salle tout en haut de l’échelle, elle se demanda cependant ce qu’elle pouvait bien faire là. Astra était bien plus du genre à croire ce qu’elle voyait que de s’attarder à écouter des élucubrations de bonnes femmes sur sa mort prochaine. Elle avait quelques amis dans les années supérieures qui lui avaient dit que la seule façon d’avoir de bonnes notes dans cette matière était de raconter la mort à venir d’un proche. Astra regrettait déjà son choix alors qu’elle s’asseyait sur l’un des coussins. Visiblement, quelques Gryffondors parlaient déjà de rattraper leur sommeil. Agacé par un tel comportement, Astra détourna son regard d’eux et se concentra plutôt sur la boule de cristal reposant sur la petite table face à elle. Soudainement fascinée, elle glissa un doigt le long de la surface lisse du globe. Ses yeux s’écarquillèrent en voyant des volutes de fumée noire apparaître à l’intérieur de la boule, puis sous son ébahissement totale, des images apparurent, ou plutôt des flashs, qui semblaient s’imprégner sur sa rétine. Une femme brune, vêtue de robes rouges sortant de derrière de grands rideaux violets. Des tasses de thé remplies de feuilles écrasées. Des rires d’élèves. Un cri strident. Astra grimaça fortement en retirant brusquement sa main du globe, et se tourna vers sa camarade. « Tu as entendu qui a crié ? » Elle la regarda d’un drôle d’air, et Astra sentit un mauvais pressentiment remonter le long de sa colonne vertébrale. « Personne n’a crié Astra. » Elle devenait folle donc. Vu sa famille, certains considérerait cela comme normal. Fermant les yeux, elle inspira profondément et repoussa toutes ces images, sons et sensations bizarres bien au fond de son esprit. Quelques minutes plus tard, une femme brune vêtue de rouge arriva du fond de la salle, poussant de lourds rideaux violets hors de son passage. Le malaise d’Astra revint au galop et elle regarda la femme – leur professeur – d’un air profondément choqué. Mais ce n’était pas fini. Lorsqu’elle leur distribua des tasses de thé remplies de feuilles à la moitié du cours, Astra sentit le bout de ses doigts tremblés sous l’angoisse qui l’envahissait soudainement. Un Gryffondor fut brusquement réveillé par la professeur, provoquant un fou-rire général, mais Astra ne riait pas. Et quand une de ses camarades hurla, jurant qu’elle venait de voir le Sinitros dans ses feuilles de thé, la Gaunt en eut presque la nausée. Est-ce qu’elle avait eu une vision ?


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« Votre ovaire gauche est effectivement atrophié. Malheureusement pour vous, il semble que le droit ne soit pas à 100% efficace, sûrement à cause de… hum enfin je veux dire cela réduit considérablement votre fertilité. » Un lourd silence prit place, mais ce n’était clairement pas à cause de sa fertilité. Astra, tout comme son père et sa mère assis à côté d’elle, face à la Médicomage, ce qui rendait soudainement l’atmosphère si lourde, emplie de tension. Les mots n’avaient pas été dit, rattrapés de justesse, mais ils n’étaient pas difficiles à deviner. A cause de l’insecte. C’était toujours à cause de ça, de toute manière. Ses os fragiles, ses problèmes de vue, ses crises d’hystérie, les regards sur leur passage, les chuchotements effrayés, les regards emplis de dégoût. Les autres ne comprenaient pas. Ils ne comprenaient pas l’importance d’un sang pur, l’importance d’avoir une magie pleine, entière et non souillée. Même les plus grandes familles, celles qui ne juraient que par la pureté, les regardaient de façon méprisante et même pour certaines, moqueuses. Car eux ont tout perdu, alors ils passent désormais pour des êtres inférieurs et sans importance. Astra ne savait ce que sa famille serait devenu sans cette crainte qui les entourait, sans la peur de la magie noire qu’ils pratiquent, sans les murmures sur leur folie les poussant à faire de terribles choses. Tout cela ne faisait que ternir un peu plus leur réputation, les faisant passer pour des malades reclus ne se reproduisant qu’entre eux, mais cela les protéger également. Même sans le sou, ils parvenaient encore à faire baisser les yeux d’une grande partie de la population et Astra ne pouvait que trouver cela admirable. Elle se demandait si elle avait pu supporter cela à la place de ses parents. Si elle avait pu relever la tête après les humiliations, malgré tout l’amour qu’elle pouvait porter pour sa famille. Elle était fière d’eux. Elle était fière de dire qu’elle était une Gaunt, elle se fichait que sa mère soit sa grande-cousine, elle se fichait qu’un des membres de sa famille soit enfermé à Azkaban. Elle était fière de son sang, fière de sa pureté, fière de ce qu’ils étaient parvenus à accomplir, fière d’être la descendante du grand Salazar Serpentard. Ses ancêtres lui avaient ouvert la voie, et désormais, c’était à elle de restaurer l’honneur, de porter à bout de bras son nom dans les plus hautes sphères, là où il était autrefois, là où il mérite d’être. C’était son but, son objectif ultime et elle ne trouverait le repos qu’une fois ceci accompli.

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La Grande Salle était en effervescence, comme chaque jour de match de Quidditch. Astra appréciait le Quidditch, particulièrement quand Serpentard jouait, mais en dehors de cela, elle ne comprenait vraiment pas l’enthousiasme de certain. Elle ne connaissait les équipes professionnelles que de nom et était bien incapable de citer un seul joueur. Après tout, cela n’était qu’un sport et ce n’était pas franchement important à ses yeux. Malgré tout, c’était amusant de voir tout le monde faire des pronostics, et le sentiment de fierté que l’on ressentait soudainement pour sa Maison était toujours agréable. Comme tout le monde ou presque, Astra avait prévu de mettre son écharpe aux couleurs de sa Maison, surtout que l’on était en hiver et qu’il ne faisait pas très chaud dehors. Les joueurs de Serpentard se levèrent de table pour rejoindre les vestiaires – ils affrontaient Gryffondor, un grand match en perspective – et immédiatement la table les acclama. Astra fit un petit applaudissement poli, et elle sera brièvement la main d’Octo dans la sienne lorsqu’il passa près de lui. Immédiatement, un flash de Serpentards criant de joie, portant une Jade Lestrange à bout de bras et l’acclamant lui parvint, la laissant pantelante pendant un bref moment. Ses visions se manifestaient toujours au moment le plus inattendu et sous différentes formes. Son sourire augmenta et elle fit signe à un douzième année qui était responsable des paris. « Un gallion sur notre équipe ! » Isabel lui lança un regard étonné, et Astra haussa les épaules. Ce n’était absolument pas dans ses habitudes de parier, cela devait même être la première fois qu’elle le faisait. « J’ai bon pressentiment. » Il ne restait plus qu’à espérer que sa vision ne soit pas fausse, comme cela lui était déjà arrivé, car un gallion représentait énormément d’argent pour elle.