âge, date et lieu de naissance — Le sablier s'écoule, quarante-deux grains de sables sont tombés depuis sa naissance dans un hôpital  de Glasgow, en Ecosse, un soir du 5 mai 1973 .  nationalité et origines — L'accent roulant sous sa langue ne peut tromper personne : c'est une Écossaise pure souche qui ne peut renier les origines qui font sa fierté. sang de sorcier — Les veines dissimulent le liquide écarlate qui fait dire à tous que le sang de sa famille est mêlé. Le moldu et la sorcière qui ont vu les origines de sa dynastie n'ont pourtant donné naissance qu'à de brillants sorciers ayant rejoint Poudlard dès leur onzième anniversaire. ancienne maison — L'or et l'onyx sont ses couleurs, le blaireaux son emblème et la loyauté sa principale qualité. Elle a fait ses premières armes sous cette maison et en est désormais la fière et flamboyante directrice.  statut civil — Le souvenir fugace d'une vie à deux lui revint parfois, un mariage, une belle robe, et l'église protestante dans laquelle celui-ci fut célébré. Mais ce dont elle se souvient distinctement, c'est des tromperies, des disputes et de la séparation qui s'en est suivie. La voila maintenant dans une relation cachée avec un de ses collègues qui préfère mentir à sa fille plutôt que de lui dévoiler la vérité. profession — Professeure de botanique, elle a fait de sa passion son métier, tout en se voyant offrir le poste de directrice de la maison poufsouffle. baguette magique — En bois de frêne, elle est constituée d'écaille de dragon, mesure vingt-six centimètres et est prédisposée aux enchantements. patronus — la baguette laisse apparaître une ombre blanche qui bientôt se transforme en un lièvre bondissant, courant d'un point à un autre avant de finalement s'évanouir. épouvantard — Le sang  coule de nouveaux sur ses doigts, étalant le sang sur le visage du nouveau-né qu'elle caresse du pouce. Elle espère un cri, guette une respiration qui ne vient pas, et ne viendra jamais. Le souvenir douloureux de sa fausse-couche reste le plus terrifiant de son existence. amortencia — l'odeur de la lande écossaise mélangée à celle des fleurs de la serre dans laquelle elle passe une majorité de son temps libre.   don magique — aucun qualités et défauts — sévère • juste • patiente • à l'écoute des élèves • pointilleuse • perfectionniste • fidèle • méfiante • calme • brillante • blessée • mélancolique • secrète • loyale signe distinctif — Portant toujours le même collier autour du cou, cadeau de sa nièce lieu de résidence — Une maison à Glasgow en Ecosse, appartenant à sa famille depuis des générations.  crédits — fuckyeahlannisters

pseudo et prénom — cérès, mais appelez moi ana    âge et région/pays — 19 ans et je vis en Lorraine comment as-tu découvert le forum ? — j'ai stalker comme une gueuse    quel est ton avis sur le forum ? — il est vraiment magnifique  quelle est ta fréquence de connexion par semaine ? — tous les jours, sinon je rp surtout le WEton personnage est — scénario (XX) inventé () ton avatar est — lena headey un dernier mot — bisous sur vos fesses

Le hurlement de la locomotive t’arrache un frémissement, secouant tout ton être d’un tremblement digne de celui d’un épileptique. La main de ta mère se serre dans la tienne alors que d’un regard tu viens chercher le sien, cherchant un peu de réconfort et de soutiens dans cet être que tu n’as jamais quitté. Ses lippes s’ornent d’un doux sourire tandis qu’elle se baisse à ton niveau, caressant tes cheveux blond et soyeux. « Tu ne dois pas avoir peur Cora. Je sais que c’est un lieu inconnu, que le voyage t’effraie, mais Poudlard va devenir ta seconde maison. Je le sais. » Tu hoches la tête, forçant un sourire pour la rassurer. Pourtant tu n’y crois pas. Ta maison c’est l’Ecosse. L’Ecosse et ses terres verdoyantes. L’Ecosse et ses châteaux en ruine. L’Ecosse et ses lacs mystérieux remplis d’êtres magiques et légendaires. . Une nouvelle caresse te ramène à la réalité. Tes yeux verts se figent dans les siens, se remplissant de larmes peu à peu avant que tu ne te jettes à son cou. « Oh maman. Vous allez me manquer toi et papa. » Ses bras se ferment autour de ta taille, te serrant contre elle, le visage posée sur ton épaule. Elle embrasse ton front avec toute sa douceur et son amour coutumier « Tu vas nous manquer toi aussi ma chérie. Mais n’oublie pas, ton frère est là aussi. » Elle vint essuyer les larmes sur tes joues du bout de ses doigts fin et délicats, tandis que tu opines vivement, n’oubliant pas que tu peux compter sur ton aîné et que, finalement, il est possible qu’il ramène un peu de chez toi dans cet endroit terrifiant et inconnu qu’est Poudlard.  Ta main reste pourtant fixée dans la sienne alors que tu te rapproches du train qui semble désormais un peu moins terrifiant, te promettant quelques belles aventures. Tu te décides alors à embrasser une dernière fois ta mère avant de monter à l’intérieur en quête d’une cabine où t’asseoir. Voilà où te portais ta destinée. Tu ne pouvais y échapper.


Installée au fond d'une alcôve du château, tes genoux repliés tout contre ta poitrine, seul le son de la pluie tombant sur les carreaux vint troubler la paix qui règne au sein de la pièce. Tes chaussures sont abandonnées un peu plus loin. Ta robe ne semble plus avoir l’éclat qu’elle possédait dans la salle commune, se mêlant aux autres danseurs. Tes longs cheveux blonds te tombent sur les épaules. Mais tes yeux, tes yeux ne peuvent s’empêcher de laisser tomber quelques perles d’eaux salés s’écrasant sur la soie rouge de ta tenue de soirée. Tu fermes les yeux et ses mots te reviennent à l’esprit comme une mélodie entêtante dont tu ne parvins pas à te débarrasser.   «  J'ai accepté d'être le petit ami de Macaria Forbes ». La boule dans ta gorge se serre alors qu’un murmure passe tes lèvres « Quelle idiote j’ai été. » Penser pouvoir rivaliser avec Macaria avait été une erreur. Tu étais tout ce qu’elle n’était pas. Et tu la détestais. Oui. Tu la détestais et tu la méprisais pour tout ce qu’elle était et tout ce qu’elle représentait. Et maintenant elle avait brisé ton cœur en séduisant le seul qui avait réussi à s’y frayer un chemin. Le rideau derrière lequel tu es dissimulé s'ouvre soudainement dans un léger bruissement de tissus. Alors tu te relèves, essuyant prestement tes larmes pour dissimuler ta peine et ton désarroi. Tu es une McGonagall. Tu ne peux te laisser aller à la faiblesse. Pourtant, ton cœur brisé en milles éclats de verres te semblent encore douloureux lorsque tu te tournes vers celui qui vient d'entrer. Un garçon de la même année que toi, préfet portant l'insigne du lion, auquel tu n'avais jamais réellement adressé la parole.  Reprenant contenance, tu croises pourtant son regard « Qu'est-ce que tu veux ? » Ta voix cherche à être plus dure qu’habituellement, mais ce n'est qu'un râle, la voix d’un oiseau blessé et brisé en plein vol. Il te regarde. T’observe avant de lâcher. « Cora. Est-ce que ça va ? » La pitié dans sa voix te fais penser qu’il a assisté à la scène de plus tôt, et tes yeux rougies par les larmes ne peuvent certainement pas le tromper. Tu te contentes de hocher silencieusement la tête, détournant pourtant le regard vers le feu brûlant dans l’âtre. « Tu ne dois pas pleurer pour ce type, il ne t’a jamais mérité. » Tes mâchoires se serrent, alors qu'il se rapproche de toi. Tu te contente de répondre faiblement « Je ne veux pas de ta pitié. Fiches moi la paix. » Mais il n'écoute pas. Il vint prendre ton poignet fin dans sa main, plus solide que tu ne l'aurais pensé. Ne te prives pas de la fête. Ce n'est pas toi qui devrais avoir honte, et puis, ce n'est pas un serpent dans son genre qui va te faire baisser la tête. » Tu le regardes sans comprendre, méfiante pourtant alors qu'il t'entraîne derrière lui pendant quelques seconde. « Attends. S'il-te-plaît Arsène. Tu peux me lâcher. C'est bon, je viens. » Tu as rendu les armes devant l'entêtement du Gryffondor. Tu ne sais pas encore que quelques mois plus tard tu deviendras sa petite-amie. Et que quelques années après, tu seras sa femme.


« Tout est de ta faute Cora. » Ses mots te font l’effet d’une gifle alors que ton regard lui lance des éclairs. Imperceptiblement, ta main vint se serrer sur ta baguette, un geste qu’il remarque, ses lèvres étirant un rictus goguenard. « Quoi ? Qu’est-ce que tu comptes faire ? Me tuer ? Tu as déjà tué notre bébé Cora. » Tes yeux se remplissent de larmes alors que ta main s’écrase contre sa joue dans une gifle monumentale. « Comment oses tu me dire ça Arsène ?! Comment peux-tu ?! » Encore des larmes. Toujours des larmes. C'est la seule chose que ce mariage t'aura donné. Il t'attrape les poignets pour t'empêcher de le refrapper, te regardant. Lui aussi avait été blessé par la perte de cet enfant, encore plus par le fait de ne plus pouvoir en avoir, te jugeant responsable sans pour autant le savoir réellement. Les mois qui avaient suivis, il t'avait laissé seule dans leur demeure de Londres, errante parmi les objets que vous aviez achetés pour votre petit garçon. Il t'avait trompé. Avait perdu son temps et sa raison dans l'alcool et la luxure, t'abandonnant à ton triste sort de mère meurtrie. Et le voilà qui rentrait. Pour te couvrir de reproche. Tu pince les lèvres en le regardant avant de te dégager. « Nous n'avons plus rien à faire ensemble Arsène. Je vais faire mes bagages, et rentrer chez moi. En Ecosse. » Il se contente de t'observer, sans un mot. Tu avais aimé cet homme, comme il t'avait aimé. Mais vous vous êtes trop fait de mal pour pouvoir tout reprendre à zéro. C'était ainsi que l'on mettait fin à un mariage. Que l'on mettait fin à une page de sa vie.

Pendant huit années tu vécus en ermite au fin fond de ta demeure Ecossaise, trouvant paix et refuge dans tes livres de botanique, perfectionnant cet art pour lequel tu te passionnais depuis ta première année à Poudlard. Tu parvins peu à peu à retrouver un équilibre, ta nièce, Maeve, venant te rendre visite de temps à autre pour te distraire. Pour cet enfant, tu donnais tout, comme une seconde mère, te permettant de retrouver ton cœur et l’amour que tu pensais évanouit depuis la perte tragique de ton fils. Un jour, comme les autres. Dumbledore vint te rendre visite. Lui ouvrant la porte, surprise, tu ne pus que l’inviter à venir prendre le thé. Un thé avec lequel tu faillis t'étouffer lorsqu'il te proposa le poste de professeur de Botanique à Poudlard. « Que... Quoi ? Monsieur, vous faites surement erreur, je suis peut-être douée, mais pour enseigner. Imaginez moi. » Un sourire énigmatique naquit sur les lèvres de Dumbledore, habilement dissimulée par sa barbe blanche. « Justement. Je vous imagine très bien. » C'est après cet événement plus que singulier que Cora prit quelques temps pour réfléchir à sa proposition. Proposition qu'elle accepta avant de rejoindre Poudlard en tant que professeur de Botanique, prenant un tout nouveau départ dans la vie, laissant ses souffrances derrière elle.

ta fiche est superbe même si tu es moche et vieille j'ai adoré l'histoire, elle est touchante jusqu'au bout et tu as parfaitement cerné le personnage, il nous faut un rp voilà et nous allons dominer le monde et torturer ma fille
merci encore d'avoir pris mon scénario

Félicitations petit hibou, tu es enfin validé ! Mais avant de rejoindre ta salle commune (ou la salle sur demande, je ne juge pas), je te conseille d’aller recenser ta carte chocogrenouille, pour que personne ne te la prenne. Les sorciers n’étant plus ce qu’ils étaient, on ne sait jamais. Bon, maintenant, on va essayer de t’intégrer comme il se doit. Tu vois ce couloir là-bas ? Dis-leur que tu viens de ma part et crées-toi un sujet de lien pour qu’on puisse venir t’harceler. C’est certainement pas avec ta tête de gland qu’ils vont s’approcher. Ensuite, si tu préfères la jouer à la meetic, viens créer des scénarios ou des semi-liens. C’est inutile ? Ah t’es un dur toi ! C’est bien. T’es surement dans l’équipe de quidittich, non ? Je te conseille d’aller réserver ta place dans l’équipe de ton choix. T’es peut-être un coincé au final… Va te recenser au bureau des préfets, par là. Oh, tu appartiens à un de ces clubs inutiles dont personne ne connaît le nom ? Tu fais comme tu veux, petit hibou, j’ai autre chose à faire que te juger. Dis, j’ai déjà vu ta tête quelque part… Tu serais pas un sang-pur par hasard ? Un sang-mêlé ? Je te conseille d’aller te faire recenser la nature de ton sang. On ne veut pas de problème avec le gouvernement ! EH, pourquoi tes cheveux changent de couleur ? Encore une de ces erreurs génétiques… Les dons et malédicitons, c’est par ici. Attends, t’as pas vraiment la tête d’un élève… Si t’es un adulte, va recenser ton métier et arrête de me faire perdre mon temps. Comment ça, t’es juste un peu barbu ? Ça explique tout. Je te conseille d’aller remplir ton dossier sur le parcours scolaire, ce serait bête que tu rates la prochaine sortie scolaire à cause de quelques poils. Et n'oublie pas d'aller faire un tour dans la coupe des quatre maisons pour réclamer tes points, ça serait bête de ne pas en profiter hein ? C'est par ici que ça se passe !

Voilà, je crois que tu as fini, petit hibou. C'était long et fastidieux mais tu es officiellement un élève de Hogwarts, pour le meilleur comme le pire. Il ne me reste plus qu’à te souhaiter bienvenue et bonne chance !

Juste une dernière chose : évite les problèmes, les murs te surveillent.